Démocraties Directes : à l'écoute des modèles...

ONG CSA - La démocratie directe : de l'échange au partage ?

Démocraties Directes : les citoyens témoignent...

Les pets de vache sont-ils des perturbateurs de la démocratie ?

Démocraties Directes : les modalités et les stratégies de la prise de pouvoir

Le Frexit est-il un préambule à la Démocratie et quelle Démocratie pour la France ?

Démocraties Directes, Actez pour vous !

X24- AMDF, l'Association des Maires Démocrates de France.
Avec Alexandre Langlois, son parrain, et le Comité D'Éthique composé d'Étienne Chouard, Didier Maïsto, Léo Girod et Paul-Antoine Martin.

Démocraties Directes : les modalités et les stratégies de la prise de pouvoir

Les droits souverains et la démocratie directe.

Démocraties Directes invite...

Le référendum et la démocratie au sein de nos institutions.

Démocraties Directes : à l'écoute des modèles...

Le syndicalisme populaire aspire-t-il à la démocratie ?

Démocraties Directes : actons !

Les outils numériques au service d'une démocratie directe ? Épisode 1

Démocraties Directes invite...

Les GJ à la croisée de la démocratie ?
L’émission Space X30 – Démocraties Directes a accueilli Jérôme Rodrigues, figure du mouvement des Gilets jaunes. Après un rappel des règles de débat, il est revenu sur son parcours, corrigeant certaines idées reçues sur sa profession et expliquant son engagement. Il a retracé la genèse du mouvement, né en 2018 autour de la taxe carbone, mais révélant un mécontentement bien plus large sur les injustices sociales et économiques. Victime de violences policières ayant entraîné la perte de son œil, il a dénoncé la répression du mouvement et l’inaction du gouvernement face aux revendications populaires. L’échange a aussi porté sur la démocratie directe et le RIC, ainsi que sur l’oubli des cahiers de doléances. Rodrigues a insisté sur l’importance du lien social tissé entre citoyens et a lancé un appel à la mobilisation, soulignant que le combat pour la justice sociale ne devait pas s’arrêter.

… Actez pour vous !

Étienne Chouard et l'Atelier Constituant Lexical N°4 - Définissons les mots : citoyen, peuple et étranger
Lors de cet atelier constituant, Étienne Chouard a exploré la définition des termes « citoyen », « peuple » et « étranger ». Il a distingué le citoyen de l’électeur, affirmant que la démocratie repose sur la capacité du peuple à voter directement ses lois plutôt qu’à élire des représentants. Il a mentionné les travaux de Léo Girod sur la distinction entre citoyens actifs et passifs et a soulevé l’idée controversée d’un « permis politique ». Critiquant les constitutions actuelles, qu’il qualifie d’« anti-constitutions » car rédigées par des représentants, il a défendu une approche où seuls les citoyens signataires d’un contrat social auraient le pouvoir législatif. Le débat s’est aussi porté sur la nationalité et la résidence comme critères de citoyenneté. Enfin, il a insisté sur la nécessité d’une puissance publique sous contrôle citoyen, pour éviter la domination des élites économiques et politiques.

… à l’écoute des modèles !

MOCICA, quand la démocratie directe devient gratuite ?
Le document traite d’un échange sur la démocratie directe et le projet Mossica, initié par Jean-Philippe Hubert. Ce dernier promeut une société sans argent, fondée sur le partage et la participation citoyenne. Mossica propose une Organisation Démocratique Globale (ODG), permettant aux citoyens de prendre des décisions sans hiérarchie centrale, du niveau local au niveau mondial. Jean-Philippe, ostéopathe et penseur social, voit dans l’argent une source de contraintes mécaniques qui favorisent l’inégalité et la destruction des ressources. L’échange explore aussi les défis de la gouvernance collective et les mécanismes de prise de décision horizontale. Le débat soulève des questions sur la transition vers un monde non-marchand, les alternatives monétaires comme la monnaie libre, et les risques d’infiltration dans les mouvements citoyens. Mossica cherche ainsi à fédérer un changement systémique, en passant d’une société de l’« avoir » à une société de l’« être ».

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Paul-Antoine Martin.

Lors de cette discussion, Paul-Antoine Martin, ingénieur et auteur du livre Le clan des seigneurs, a exposé sa critique des hauts fonctionnaires issus des grands corps d'État, qu'il décrit comme une "caste" privilégiée et déconnectée. Selon lui, ces élites ne servent plus l'État, mais se servent elles-mêmes, favorisant un système où le pantouflage et la corruption sont devenus la norme. Il souligne également la perte de valeurs fondamentales telles que l'abnégation et le sens du service public, ce qui conduit à une "kakistocratie", un pouvoir exercé par les moins compétents. Paul-Antoine Martin estime que la réforme de l'État passe avant tout par une transformation morale et institutionnelle, notamment en limitant les conflits d'intérêts et en redonnant un véritable pouvoir au peuple. Il rappelle enfin que "la médiocrité s'étale comme une tache d'huile" et que seule une refonte profonde du système permettra d'y remédier.

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La démocratie directe comme rempart du désordre mondiale ? Lors de cet échange, Valérie Bugault, juriste et docteure en droit, a présenté ses analyses critiques sur les structures politico-économiques et monétaires mondiales. Elle a souligné la mainmise des grandes puissances financières sur les États et dénoncé l’absence de contre-pouvoirs réels dans les institutions actuelles. Selon elle, la démocratie représentative est en réalité une « plutocratie », où les intérêts économiques dominent les décisions politiques. Elle a également abordé la financiarisation de l’économie et ses effets dévastateurs sur les PME, les privant de leur autonomie au profit des grands groupes internationaux. Bugault a défendu une refonte du système en s’appuyant sur des principes de participation et de rééquilibrage des pouvoirs, notamment par la mise en place de nouveaux cadres institutionnels inspirés du passé et adaptés aux réalités actuelles. Elle a également évoqué les difficultés qu’elle a rencontrées dans sa carrière, notamment la censure et l’ostracisation de ses travaux, ce qui l’a amenée à se tourner vers la diffusion de ses idées via les réseaux sociaux et ses ouvrages, et y developper son modèle de société Révoludroit....

Démocraties Directes invite...

Essayez la démocratie directe ? Lors de cet entretien, Alexandre Langlois, ancien policier syndicaliste et observateur critique du système politique français, a dénoncé l’illusion démocratique en France, où le pouvoir reste concentré entre les mains d’une élite politique. Selon lui, les partis politiques participent à cette confiscation du pouvoir en empêchant une véritable souveraineté populaire. Face à cette situation, il évoque trois pistes pour un changement : une prise de pouvoir par l’élection présidentielle, une révolte populaire ou la mise en place d’un système parallèle indépendant de l’État. Il met également en garde contre la dérive autoritaire du gouvernement et l’instrumentalisation des forces de l’ordre pour mater toute contestation. Aujourd’hui, s’il a pris du recul sur l’action politique directe, il continue à partager son expérience et ses analyses pour éveiller les consciences et encourager l’engagement citoyen.

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Decidemos, la population décide-t-elle vraiment ? Lucas de Paris, candidat aux législatives de 2024 dans la première circonscription des Ardennes, était invité pour présenter son parti, Décidemos, créé en 2018 et prônant une démocratie participative. Selon lui, la démocratie actuelle est davantage une "ploutocratie" où les citoyens n'ont pas réellement le pouvoir de décision. Il plaide pour une démocratie directe, avec des référendums d'initiative citoyenne (RIC) et des mandats impératifs pour les élus. Il insiste également sur l'importance des élections municipales comme levier pour instaurer localement des mécanismes démocratiques, en s’appuyant sur la loi organique 1112 sur le référendum local. Très actif sur le terrain et en ligne, il souhaite favoriser l’émergence d’une véritable démocratie populaire en France, en s’inspirant notamment du modèle suisse.

Cette émission a été coupée au montage à cinq endroits suite à des incidents techniques de notre invité. Veuillez nous en excuser !

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L’émission a accueilli Étienne Chouard dans le cadre de l’Atelier Constituant Lexical N°3. L’objectif était de définir le concept d’État de droit. Selon Étienne Chouard, il s’agit d’un système où "l’État, qui produit le droit, est lui-même soumis à un droit supérieur et inaccessible, garantissant les libertés fondamentales et empêchant les abus de pouvoir". Le débat a opposé plusieurs intervenants, notamment Christophe, qui estimait que l’État de droit n’avait pas lieu d’être redéfini dans une démocratie véritable, et Myriam (alias "la vocation"), qui insistait sur l’importance d’un cadre contraignant pour les représentants. La discussion a également porté sur le rôle des juges et la nécessité d’un contrôle populaire effectif. Pour Chouard, "nos représentants doivent craindre un droit qui leur soit supérieur", afin d’éviter toute dérive oligarchique et préserver la souveraineté citoyenne.

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Rébellion ou élection ? L’émission portait sur les stratégies et modalités de la prise de pouvoir et opposait deux visions : la rébellion contre l’élection. Didier Maïsto, journaliste et ancien patron de Sud-Radio, défendait l’idée d’une contestation active face au système politique en place, qu’il juge verrouillé et inefficace pour répondre aux attentes citoyennes. À l’inverse, Clara Egger, politologue et ancienne candidate à l’élection présidentielle, et Raoul Magni Berton, enseignant-chercheur, soutenaient une approche légale et institutionnelle via les élections et le lobbying politique pour faire avancer la démocratie directe. Le débat a mis en avant la nécessité d’une stratégie commune, insistant sur l’importance du RIC constituant comme revendication principale. Tous s’accordaient sur le fait que la démocratie représentative actuelle est une "cooptation ratifiée par une élection", mais divergeaient sur la manière de la réformer. La question de la visibilité médiatique et du verrouillage des institutions a été soulevée, ainsi que la nécessité d’actions diversifiées pour peser politiquement. L’émission s’est conclue sur un constat partagé : la démocratie directe nécessite une large mobilisation citoyenne, que ce soit par l’engagement électoral ou la pression populaire dans la rue.

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Myriam Palomba. Invitée de l’émission *Démocraties Directes*, elle a abordé les thèmes des médias, de la résistance, de la souveraineté et du Frexit. Selon elle, la démocratie est aujourd’hui menacée, voire inexistante, car le pouvoir du peuple est confisqué par des institutions non élues. Elle a dénoncé l’Union Européenne comme un obstacle à la souveraineté nationale, affirmant que le Frexit est une condition essentielle pour retrouver une véritable démocratie. Critique envers les médias mainstream, elle estime que ceux-ci participent à une manipulation de l’opinion publique et prône une parole sans concession. Elle rejette toute stratégie d’infiltration des grands médias et défend une approche fondée sur la vérité brute. Palomba a également évoqué les risques liés au contrôle financier des citoyens, notamment à travers l’euro numérique. Concernant Trump, elle se montre prudente, saluant son patriotisme, mais restant vigilante face à ses actions. Enfin, elle appelle les citoyens à ne pas attendre de « messie » politique et à s’engager activement pour restaurer une démocratie directe et authentique.

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Municipales 2026, organisons-nous dès maintenant ! Raphaël, créateur du Portail Municipal Démocrate (PMD), a présenté son initiative visant à promouvoir la démocratie directe dans les communes françaises. Engagé depuis 2017, il a conçu une plateforme où les citoyens peuvent créer et structurer des listes électorales locales. « Ce portail est 100 % apartisan et totalement indépendant », a-t-il souligné, insistant sur son ouverture à toutes sensibilités politiques. Le PMD met à disposition des outils collaboratifs pour structurer des équipes et échanger des ressources, tout en intégrant un système de labellisation évaluant la transparence et l’engagement démocratique des projets municipaux. Raphaël a précisé que l’objectif est de « faciliter l’organisation pour gagner les élections municipales de 2026 ». L’émission a également évoqué les défis de la communication et du référencement du site, ainsi que les stratégies pour garantir la visibilité du projet. Enfin, Raphaël a invité toute personne intéressée à contribuer au développement de la plateforme, afin d’en faire un outil central pour l’avenir de la démocratie locale.

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Les actes et les mots. L’émission a accueilli Philippe Ponge, représentant du Mouvement Constituant Populaire (MCP), pour discuter des enjeux de la démocratie directe. Selon lui, « le pouvoir corrompt », et seule une implication citoyenne active peut garantir une véritable souveraineté populaire. Défenseur d’un « processus constituant populaire permanent », il milite pour que les citoyens puissent rédiger et modifier eux-mêmes la Constitution. Engagé depuis plus de 12 ans, il explique que « l’objectif des élections, c’est vraiment de faire connaître, passer un message », et non de s’intégrer au système. Le MCP organise des ateliers constituants, développe un jeu d’éveil citoyen et encourage les « votations sauvages » pour sensibiliser à l’importance du référendum d’initiative citoyenne. Convaincu que la démocratie actuelle est illusoire, il cite Howard H. Hansen : « La monarchie, c’est un seul dirigeant ; l’oligarchie, c’est quelques-uns ; la démocratie, c’est le pouvoir du peuple ». Toutefois, il reconnaît que « le jeu électoral est vicié » et privilégie les actions locales et collectives. Ponge insiste sur l’importance de la convergence des luttes, tout en restant prudent face aux récupérations politiques. Pour lui, « il faut semer des graines de démocratie », en espérant qu’un jour, elles porteront leurs fruits.

Démocraties Directes invite...

Le référendum et la démocratie au sein de nos institutions.

Démocraties Directes invite...

Le Parrhésiaste explique le PIC

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La RAC : qu'est-ce que c'est ? La démocratie directe est au cœur du débat, notamment à travers la RAC, qui permettrait aux citoyens de choisir les médias qu'ils financent via leur redevance audiovisuelle, renforçant l'indépendance et le pluralisme. L'idée s'inspire de modèles participatifs comme le « chèque éducation » pour l'éducation ou les taxes fléchées, en garantissant une meilleure transparence et diversité des opinions médiatiques. Les intervenants insistent sur l'importance de réformer les médias pour éviter leur contrôle par des oligarques et libérer les journalistes de pressions économiques et éditoriales. La distinction entre journalistes et chroniqueurs est soulignée, avec un appel à revaloriser le métier et sa déontologie. L'influence des écoles de journalisme et leur lien avec les élites économiques est aussi questionnée. Enfin, plusieurs projets visent à utiliser le numérique et les systèmes participatifs pour moderniser le financement et l'accès à l'information dans une optique démocratique.

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L’Atelier Constituant Lexical N°2 (ACL2), animé par Étienne Chouard, explore la nécessité de redéfinir des concepts clés pour une démocratie véritable. Étienne insiste sur la clarification du terme "volonté générale", qu’il définit comme "ce que veut la majorité des citoyens sur chaque sujet", une volonté qui doit être approchée par des votations et non imposée par des élus. Critiquant le système électoral, il affirme : "L’élection est aristocratique, seule le tirage au sort garantit l’égalité démocratique." Il propose également des "chambres de contrôle tirées au sort", pour surveiller et sanctionner les représentants qui dévient de la volonté populaire. Inspiré par Rousseau, Étienne défend une Constitution simple et accessible : "Ce texte doit être compréhensible par tous, sans jargon juridique." Il rejette l’influence des élites capitalistes, affirmant que "les riches doivent perdre le pouvoir politique pour une véritable démocratie". Enfin, il appelle les citoyens à s'engager activement, car selon lui, "une démocratie réelle ne peut exister sans une participation populaire massive et informée".

Démocraties Directes, Actez pour vous !

Ce premier volume explore les stratégies et modalités pour permettre au peuple de reprendre le pouvoir. Trois approches principales sont présentées : la contestation (manifestations et blocages), l'infiltration (participation au système électoral) et la substitution (création de systèmes parallèles). Il met en avant l'importance des assemblées citoyennes locales, véritables espaces de réflexion, de débat et de mobilisation, pour initier une démocratie directe. En s’appuyant sur des exemples historiques, comme Gandhi ou les mouvements révolutionnaires, on analyse les actions qui ont marqué la quête de souveraineté populaire. Il plaide pour une mobilisation non-violente, structurée et inclusive, tout en insistant sur la nécessité d’une unité populaire pour éviter les divisions. Les défis humains, comme la manipulation, la répression et la désinformation, sont également abordés. Enfin, il souligne l'importance de se préparer sur le long terme tout en restant réactif face aux opportunités, pour construire une alternative durable et équitable au système actuel.

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La tempête qui vient sera-t-elle démocratique ? Dans cette émission, Nicolas Vidal, auteur de La Tempête qui vient, critique sévèrement l'état de la démocratie française et la classe politique qu’il qualifie de « caste ». Il dénonce « la sécession des élites » qui ont, selon lui, abandonné les citoyens en confisquant le pouvoir au profit de l’oligarchie européenne et américaine. Vidal évoque une « tyrannie du frigo », estimant que l’appauvrissement généralisé sera le déclencheur d’une révolte populaire. « On ne gouverne jamais impunément contre son peuple », prévient-il, soulignant que l’accumulation de frustrations pourrait mener à une explosion sociale incontrôlable. Il critique également le rôle passif des syndicats qu’il décrit comme des « amortisseurs de colère », ainsi que l’inaction des députés face à ces dérives. Pourtant, Vidal perçoit un réveil progressif : « De plus en plus de Français deviennent des citoyens », observe-t-il, en saluant l’essor de collectifs engagés. Enfin, il met en garde contre la myopie des dirigeants : « Ces gens ne se rendent pas compte de ce qu’ils pourraient déclencher. »

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Le militantisme démocrate à 360 degrés. Léo Girod, militant autodidacte engagé dans les processus démocratiques, met en avant la nécessité de renforcer le rôle des citoyens comme législateurs. Selon lui, le référendum d’initiative citoyenne (RIC) est une étape clé pour permettre une participation plus active des citoyens à la vie politique. Il prône une stratégie de « petits pas » pour instaurer des changements concrets et accessibles, plutôt qu'une révolution rapide et brutale. Il s’interroge également sur les limites actuelles des institutions, qu’il juge parfois trop éloignées des besoins populaires. Enfin, il plaide pour une démocratisation progressive et réaliste, avec des outils comme les assemblées locales ou les initiatives citoyennes, afin d’habituer les citoyens à participer directement aux décisions collectives.

Démocraties Directes invite...

L'Alliance Populaire est-elle le monde moderne ? Lors de cet entretien, Alexis Poulin dénonce "les limites d’une démocratie représentative à bout de souffle" et plaide pour une transformation politique en profondeur. Il présente son projet Alliance populaire, un mouvement fédérateur pour promouvoir la démocratie directe et le référendum d’initiative citoyenne (RIC). "Le peuple doit reprendre le pouvoir qui lui a été volé", a-t-il déclaré, insistant sur la nécessité d’un Frexit pour restaurer la souveraineté nationale. Il critique aussi violemment les médias, qu’il accuse de "propagande et de censure", et appelle à un nouveau modèle d’information, transparent et indépendant. Pour lui, les municipales de 2026 représentent un tremplin stratégique vers la présidentielle de 2027. Il soutient des mesures comme le mandat impératif et révocatoire, pour contraindre les élus à respecter leurs engagements. "Il n’y a pas de fatalité", a-t-il affirmé, appelant les citoyens à se mobiliser pour bâtir un système véritablement démocratique.

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Atelier Constituant Lexical N°1. Lors de cette émission, Étienne Chouard inaugure un atelier constituant lexical pour poser les bases d’une démocratie directe. Il définit la démocratie comme "le régime où les citoyens éclairés décident, et non leurs représentants", rejetant le concept de "démocratie représentative" qu’il qualifie d'oxymore. Selon lui, la Constitution doit être rédigée par les citoyens eux-mêmes pour éviter les conflits d’intérêts des représentants, qu’il considère comme des serviteurs devant préparer et exécuter les décisions citoyennes, mais jamais les voter. Chouard a également critiqué l’inflation législative et proposé qu’une nouvelle loi implique la suppression de plusieurs anciennes. Il a insisté sur l’importance d’un langage clair et accessible dans la Constitution, déclarant : "Une Constitution, ce n’est pas un texte technique, c’est un contrat social." Enfin, il a appelé à l'organisation d'ateliers citoyens locaux pour préparer une refonte démocratique, affirmant : "C’est à nous, citoyens, d’écrire les règles de notre représentation, sans attendre l’autorisation des élus."

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L’association France Constituante a été créée en octobre 2021. Elle sensibilise les citoyens aux conséquences découlant de la Constitution de la V° République. "France Constituante" propose une refonte démocratique et constitutionnelle axée sur une participation active du peuple. L’objectif est de tendre vers une démocratie directe, tout en reconnaissant la nécessité d’une transition éducative pour développer un esprit collectif. La constitution doit être un texte clair et cohérent, rédigé comme un bloc unique avec des termes précis, et protéger des biens communs essentiels comme l’énergie et l’agriculture. Des garde-fous, tels que des référendums populaires et un pouvoir judiciaire indépendant, sont envisagés pour prévenir les abus de pouvoir. Le projet inclut un canevas adaptable, conçu avec le peuple, tout en restant vigilant face aux dangers du populisme et des manipulations médiatiques. L’équilibre entre libertés individuelles et intérêt général est central, avec des débats publics contradictoires pour garantir inclusion et transparence. Ce modèle vise à instaurer une gouvernance plus représentative et respectueuse des principes démocratiques.

Démocraties Directes invite...

Séparation des pouvoirs et restructuration étatique ou fin de la représentativité ? Des convictions et des propositions ! Didier Maisto dénonce une démocratie représentative française qu'il considère comme une "façade" servant les intérêts d'une élite oligarchique et déconnectée des réalités populaires. Selon lui, les institutions, telles que le Conseil constitutionnel, sont devenues inefficaces, tandis que les partis politiques ne sont que les "détaillants d’un même grossiste". Il critique également les médias traditionnels, largement financés par des subventions publiques et contrôlés par des groupes privés comme ceux de Bernard Arnault, qui manipulent l’opinion publique. Maisto appelle à dépasser les divisions partisanes et sociétales pour se rassembler autour d’idées simples et universelles, en priorisant les enjeux sociaux. Inspiré par Étienne Chouard, il propose une Sixième République avec une constitution écrite par les citoyens. Il prône le localisme, la solidarité et l’engagement associatif pour recréer du lien social. Enfin, il met en garde contre la numérisation excessive et l’influence des institutions supranationales, qui affaiblissent la souveraineté populaire et les droits des citoyens.

… à l’écoute des modèles !

Raul Magni-Bertton présente le nouveau parti Solution Démocratique et son programme. Le parti Solution Démocratique présente son programme, visant à renforcer la souveraineté populaire par des mécanismes comme le référendum obligatoire et le référendum d’initiative citoyenne (RIC). Ces outils permettraient aux citoyens de modifier la Constitution, en s’inspirant des pratiques de pays comme la Suisse et l’Uruguay. Les intervenants discutent des obstacles juridiques, notamment l’article 89 de la Constitution française, et des résistances politiques. Ils critiquent également l’influence des institutions européennes, perçues comme limitant l’autonomie des États. Le débat souligne l’importance de construire progressivement un cadre démocratique direct, en sensibilisant les citoyens et en exerçant une pression politique sur les élus. Les participants insistent sur la nécessité d’un encadrement légal clair pour éviter des contradictions juridiques. Enfin, ils encouragent la mobilisation citoyenne pour promouvoir une véritable démocratie participative malgré les défis institutionnels.

Démocraties Directes invite...

Le droit est-il le fondement de la démocratie ? Empêcheuse du gaz de schiste en France et en Europe. Experte près du CESE sur le Tafta et les ALE. Militante encore et toujours ! Danièle Favari analyse le rôle du droit comme fondement de la démocratie et plaide pour une transition vers une démocratie directe. Elle critique la complexité du système actuel, marqué par une accumulation de lois, décrets et réglementations, ainsi que par l’influence excessive de l’exécutif dans la législation. La participation citoyenne, via des outils comme le référendum d'initiative citoyenne (RIC), est proposée comme un moyen de redonner du pouvoir au peuple. Elle met également en avant l'importance de simplifier le droit tout en préservant les codes essentiels comme le code civil ou le code du travail. La nécessité d’une nouvelle Constitution est soulignée pour instaurer une souveraineté populaire réelle et mieux encadrer le rôle des institutions. Le document critique certaines structures actuelles, comme le Sénat et la Cour de justice de la République, et appelle à une refonte profonde pour garantir une démocratie plus transparente et participative. Enfin, il invite à réfléchir à un nouveau paradigme où les citoyens jouent un rôle central dans l’élaboration des lois et dans la gestion des institutions publiques.

… à l’écoute des modèles !

Le mouvement présente leur modèle de constitution proposé par Christian Laurut. L'émission propose un modèle de Démocratie Directe basé sur des agoras locales, où les citoyens débattent, votent les lois et contrôlent l'exécutif via un gouverneur sous mandat impératif. Ce système participatif remplacerait les institutions traditionnelles en s’appuyant sur une nouvelle constitution rédigée par un collectif. La transparence et l'implication citoyenne sont au cœur de ce modèle. Sa mise en œuvre envisagerait des votations populaires ou des stratégies légales pour mobiliser et instaurer ce changement.

… à l’écoute des modèles !

Le spaceur bien connu Débilocratie nous explique son modèle de gouvernance directe totale sans représentativité. L'émission présente la Démopotie et explore un modèle de démocratie directe basé sur une plateforme numérique, permettant aux citoyens de poser des questions et voter sur des réponses de manière sécurisée et transparente. Ce système inclut deux chambres (questions et réponses) et une phase constituante pour définir les règles fondamentales. L’objectif est de garantir une souveraineté populaire totale, avec des décisions exécutées par un gouvernement restreint. Les enjeux soulevés concernent la sécurité du vote, l’anonymat et l’éducation citoyenne.

L'émission 2 explorent des modèles de démocratie directe visant à redonner le pouvoir aux citoyens, notamment à travers des assemblées citoyennes et des médias indépendants financés par des citoyens. Les intervenants critiquent la concentration du pouvoir et des médias, tout en proposant des solutions pour une gouvernance plus participative. Des concepts comme le chèque redevance et la suppression de la représentativité traditionnelle sont débattus pour réduire les conflits d'intérêts. Enfin, les idées prônent une révolution pacifique basée sur des réformes constitutionnelles pour une séparation stricte des pouvoirs.
France Constituante et Fanch présente son manifeste pour une nouvelle constitution. Le RIC, la RAC & le Frexit présente la Redevance Audiovisuelle Citoyenne. Stéphane Bernard présente Citoyenne Démocratie et sa gouvernance citoyenne directe totale.

Ce Space explore les initiatives et débats pour instaurer une démocratie directe en France, avec des propositions variées comme le référendum d’initiative citoyenne (RIC), des agoras locales et des réformes constitutionnelles. Les intervenants soulignent l'importance de la souveraineté populaire, de l’éducation citoyenne et des mécanismes participatifs face aux limites du système représentatif. Les divergences stratégiques n’entament pas leur objectif commun : redonner au peuple le pouvoir décisionnel. Ces discussions illustrent la volonté collective de réinventer une gouvernance participative et durable.
Raul Magni-Bertton présente le nouveau parti Solution Démocratique et son modèle. Danièle Favari présente l’organisation d'une chambre référendaire citoyenne .Démocratie Directe présene la démocratie directe selon le modèle de constitution proposé par Christian Laurut. Débilocratie présente la Démopotie et son modèle